Auf Wiedersehen, Deutschland, Guten Tag, Österreich !
Dimanche 25 mai.
Peu avant d’entrer en Autriche, le compteur
affiche 1000 kms.
Tiens, un ours juste avant de quitter l'Allemagne - j'ai dit UN ours...
Le balisage change de couleurs, nous perdons le "6" de la véloroute, mais pas de problème, il suffit de suivre le Danube.
Nos derniers kilomètres en Allemagne ont été surtout marqués par les traces des crues de l’an dernier. De nombreux bâtiments montrent le niveau de l’eau et les dégâts occasionnés. Les échelles de crues sont impressionnantes.
Le balisage change de couleurs, nous perdons le "6" de la véloroute, mais pas de problème, il suffit de suivre le Danube.
Nos derniers kilomètres en Allemagne ont été surtout marqués par les traces des crues de l’an dernier. De nombreux bâtiments montrent le niveau de l’eau et les dégâts occasionnés. Les échelles de crues sont impressionnantes.
Ici, le Danube est monté au premier étage des maisons, le trait du haut est la hauteur de la crue de 1500 ( ?), celui juste en dessous celle de 2013. Pour vous donner un ordre d’idée, je mesure 1,60 m – photo prise à Passau, dernière ville allemande.
Habitués à rouler dans la nature, nous retrouvons ici la civilisation : de très nombreux touristes descendent des bus pour monter sur les bateaux de croisière.
En Autriche, le Danube entre dans une vallée sauvage et
encaissée. L’Euro 6 , qui n’est plus balisée comme telle, mais en tant que
"Donau Radweg" nous fait pédaler au ras de l’eau. Le topoguide donne
la rive nord comme la plus belle, allons-y…
Le trafic fluvial est intense : d’énormes péniches remontent et descendent, croisant les bateaux
de croisière. Beaucoup de monde aussi sur la piste en ce dimanche, les familles
autrichiennes profitent du soleil.
Dans le superbe méandre de Schlögen, plus de piste :
nous prendrons, comme les autres cyclistes, un bac pour traverser le fleuve,
puis un autre un peu plus loin pour retrouver notre rive nord.
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