Beau temps, vent
violent de face…
A peine avoir quitté la pension où nous avons dormi, nous retrouvons le vent sur la piste.
Encore et encore, la bise est là, qui chasse les derniers nuages. Très vite nous choisissons de rouler en bas de la digue, un peu protégés.
Nous discutons avec un cycliste allemand, qui nous prend en photo pour envoyer...à son épouse : il part pour une semaine, et envie notre disponibilité de retraités.
A peine avoir quitté la pension où nous avons dormi, nous retrouvons le vent sur la piste.
Encore et encore, la bise est là, qui chasse les derniers nuages. Très vite nous choisissons de rouler en bas de la digue, un peu protégés.
Nous discutons avec un cycliste allemand, qui nous prend en photo pour envoyer...à son épouse : il part pour une semaine, et envie notre disponibilité de retraités.
Dans la cour du château, un étonnant ensemble de bronze, de Bern Streiter, créé en 2009, met en scène les défauts et les travers des hommes.
A Mödlich, la jolie église en bois rend hommage à Gijsels van Lier, gouverneur d’origine néerlandaise, célèbre pour ses actions en faveur de l’économie locale et des conditions de vie de la population, dans les années 1650.
Nous suivons d'anciens bras de l'Elbe, la fin de la journée s'approche, la fatigue se fait sentir...
Étape 12 – jeudi 1er
juin : de Hitzacker à Artlenburg (62/872
)
Beau temps frais
vent fort, de face.
L'Elbe se laisse admirer à notre gauche :
Nous roulons sur les digues qui sont entretenues par les troupeaux de moutons- Attention à bien refermer les barrières...
A droite, de grosses fermes, énormes bâtiments couverts de chaume, ont des épis de faîtage curieux :
A l'entrée de la ferme, impossible de se tromper sur l'activité pratiquée ici :
Au bac de Neu Bleckede, nous changeons de région.
Ce panneau rappelle la date de la chute du Mur de Berlin, et de réunification des deux Allemagnes.
La ville de Lauenburg sur l'autre rive :
Et c'est avec un le moulin à vent - pas étonnant - que le village de Artlenbug nous accueille pour l'étape du soir.
Étape 13 –
vendredi 2 juin : de Artlenburg à Hambourg (55/927).
Beau temps, pas de vent ! Le compteur s'affole : 20, 22, 23...
On approche d'une grande ville, mais la campagne garde ses droits, et les fermes sont superbes.
Avant d'entrer en ville, nous faisons une pause, et apprenons le plan, car les entrée en zones urbaines ne sont pas évidentes :
Aux premières zones d’entrepôts succèdent très vite les constructions typiques de Hambourg, en brique rouge.
La Philharmonie de l'Elbe est un bijou d'architecture. Le socle en brique est un ancien entrepôt de thé, tabac et cacao, sur lequel est posé un édifice en verre couronné d'un toit en forme de vague.
Nous déambulons, au milieu de la foule, sur l'ancien port des voyageurs, le port de commerce et les rues voisines.
Objectif suivant : la mer du Nord...
2 commentaires:
Ah Hambourg, souvenirs souvenirs... j'y suis venue avec ma famille d'accueil lors d'un séjour linguistique ... cela ne me rajeunit pas.
Jolies fermes sur votre parcours, on dirait celles d'un écomusée tellement elles sont nettes, bien peintes, bien couvertes de chaume... les fermes dans nos campagnes, celles que je connais au moins, ne sont pas toujours aussi pimpantes.
Grand vent toujours pour vous contrer mais apparemment toujours du beau temps... belle route les amis, profitez bien!
amitiés.
Beau, beau, beau!
Merci de me faire voyager.
Bonne continuation toujours sous le soleil, je l'espère.
Bises.
Francine
Enregistrer un commentaire